En dépit de la cherté, les soirées ramadhanesques «coûte que coûte»

La flambée des prix ne touche pas que les vivres, le thé et Kalb Ellouz, qui agrémentent les soirées ramadhanesques, ne sont pas épargnés. Mais l’habitude des jeunes et moins jeunes ne compte pas leurs sous pour savourer une soirée en compagnie de proches ou en milieu de sa famille.

Nesrine Cherikhi a apostrophé des Algérois et recueillis des impressions. Ils affirment que ces soirées sont inévitables coûte que coûte.