
Il devait réguler le marché national en viande rouge en période de pénuries. L’abattoir industriel de Hassi Bahbah peine à être opérationnel et pour cause : il n’arrive pas à fédérer les éleveurs de la région susceptibles de l’approvisionnement en viandes rouges, a constaté sur place Djawida Azzoug de la radio Chaine 3.
Ceux-là même hésitent toujours de coopérer, par méfiance, avec le complexe qui veille à la fois à assurer la traçabilité du bétail et les intérêts réciproques des intervenants dans la chaine industrielle élevage-abattage. Le problème dure depuis deux ans, à partir desquelles le complexe est mis en service.
« La problème n’incombe pas aux éleveurs car les opérations se font à la base d’un cahier des charges où l’éleveur est confronté à un arsenal de paperasse à laquelle il n’est pas habitué », a déclaré Gueddid Mohamed, directeur de l’agriculture de la wilaya de Djelfa qui préconise « la graduation pour amener les gens à s’y faire graduellement ». Reportage
- Chaîne3