Sur 5 millions d’Algérien qui souffrent d’insuffisance rénale, un quart (1/4) d’entres-eux sont au stade final et attendent, en urgence, une greffe synonyme de vie sauve. Seule solution à l’horizon, le prélèvement d’organe sur les personnes décidées.
Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Mustapha Bacha à Alger sera prêt, à partir du mois de juin, à prélever des organes sur cadavre. Toutefois, l’opération risque d’être freinée par un problème de société. En effet, les familles des défunts sont très réticentes à donner leur accord pour de telles opérations.
Le ministère des affaires religieuses promet de s’impliquer en incitant les Imams à sensibiliser les fidèles au don d’organes, explique Ahcène Chemach, journaliste de la radio Chaine 3, dans un reportage diffusé ce matin.