Le septième art est à l’honneur à Annaba, réanimé par l'effervescence que connait la ville à l'occasion de la tenue de la 3ème édition du FAFM, le Festival d'Annaba du Film Méditerranéen, dont la clôture est prévue le 27 mars.
Le festival est marqué en grande partie par des productions maghrébines à travers lesquels s’affronte une nouvelle génération de cinéastes prête à assurer la relève, dans l’optique d’imposer leurs productions.
Pour sa part, Merouane Meddeb, cinéaste tunisien, affirme à la radio chaine 3 que « l’acte de filmer est d’abord une prise de position envers son monde en même temps qu’une perception du réel dans ses aspects sociaux et économiques notamment ».
Mais avec le relancement de ces activités culturelles peut-on rêver d’une émergence de l’industrie cinématographique ? A rappeler pour les nouvelles générations que l’Algérie était jadis un leader à l’échelle arabe et africaine dans le domaine de cinéma. Serions-nous aujourd’hui, en mesure d’offrir une stratégie retracée par une véritable politique d’engagement pour sauver le septième art et le rendre lucratif ?
Eléments de réponse dans le reportage de Soraya Ghozlane de la Radio chaine 3