En ce mois de ramadhan comme par le passé, les familles ne se cantonnent plus dans les maisons ou se contentent de « parker » dans les quartiers mais bien plus que ça. Elles s’approprient les moindres espaces dans les espaces externes, places publiques, terrasses et/ou passer en salles de cinéma en l’absence de sites d’animation.
De nouvelles traditions s’installent avec un regain d’intérêt des Algériens pour les sorties familiales. A Alger, comme dans bon nombre d’autres villes, transport nocturne aidant, les soirées ramadhanesques deviennent bien mouvementées. La ruée des familles vers les espaces accueillant commencent, pour la plus part, après la prière des taraouih.
A la capitale où Djaouida Azzoug, de la radio chaine 3, a fait le tour nous décrit une heureuse ambiance qui meuble les soirées d’une ville longtemps mise en hibernation et regagne, le temps d’un mois, de la joie et de la convivialité pour faire oublier la morosité des onze autres mois de l’année.