Quarante-six (46) conventions (nationales et internationales) de partenariat et d’échange d’expérience ont été signées par l’université africaine "Ahmed Draia" d’Adrar, ces dernières années, a-t-on appris mercredi du rectorat de cet établissement de l’enseignement supérieur.
Elles s’inscrivent au titre d’une stratégie élaborée par le ministère de tutelle visant l’ouverture de l'université algérienne sur le monde socio-économique, à l’échelle nationale et internationale, dans l’objectif de favoriser le développement de la recherche scientifique, a-t-on précisé.
Dans ce cadre, cinq (5) conventions internationales ont été signées entre l’université d’Adrar et d’autres de pays arabes, africains et européens (Egypte, Jordanie, Sénégal, Espagne et France), pour la collaboration et l’échange d’expériences scientifiques.
Neuf (9) conventions ont été signées également avec des universités au niveau national, à l’instar de l’université de Sidi-Bel-Abbès pour la formation des avocats, l’université d’Oran pour la formation doctorale en sociologie, ainsi que l’université de Batna pour l’ouverture d’un département de ’enseignement de la littérature et langue française, selon la même source.
Dans le même contexte, trente deux (32) conventions ont été signées avec divers secteurs au niveau local, notamment l’hydraulique l’agriculture, les finances, l’énergie, outre le bâtiment et les travaux publics, a-t-on ajouté.
Ces conventions visent à mettre en exergue les contraintes entravant l’action de développement socioéconomique, en vue de les lever et, partant, trouver des solutions efficientes, sur la base des études et recherches scientifiques, souligne-t-on au rectorat de l’Université d’Adrar.