
- Moussa Touati, président du FNA au micro de la radio Chaine 3
- Abdelaziz Belaid, président du FM au micro de la radio Chaine 3
- Djamel Ould Abbas, SG du FLN au micro de la radio Chaine 3
- Amar Ghoul, président du TAJ au micro de la radio Chaine 3
- Abdelaziz Belaid, président du FM au micro de la radio Chaine 3
- Moussa Touati, président du FNA au micro de la radio Chaine 3
- Ahmed Gouraya, président du FJDC au micro de la radio Chaine 3
- Ahmed Ouyahia, SG du RND au micro de la radio Chaine 3
- Amara Benyounes, président du MPA au micro de la radio Chaine 3
- Fillali Ghouini, président d'El Islah au micro de la radio Chaine 3
- Abderezzak Makri, président du MSP-FC au micro de la Chaine 1
- Louiza Hanoune, SG du PT au micro de la Chaine 1
- Abderrahmane Sellam, SG du PVA au micro de la Chaine 1
- Belaid Mohand Oussaid, président du PLJ au micro de la Chaine 1
- Abdelmalek Bouchafaâ, 1er secrétaire du FFS au micro de la Chaine 1
- Abdallah Haddad, président du FMN au micro de la Chaine 1
- Djamel Benabdeslem, président du FAN au micro de la radio Chaine 3
- Louiza Hanoune, SG du PT au micro de la radio Chaine 1
- Mohamed Cherif Taleb, président du PNSD au micro de la radio Chaine 1
- Abdelamek Bouchafa, 1er secrétaire du FFS au micro de la Chaine 1
La campagne électorale pour l’élection législative du 4 mai amorce sa dernière semaine. Les chefs de partis mettent les bouchées doubles pour convaincre les électeurs à se rendre aux urnes et à choisir les «candidats intègres». Pour ce dimanche, les leaders des différentes formations politiques ont dénoncé dans leurs discours, l’argent sale et la corruption qui «discréditent la politique».
Le FJDC à Sétif
Le président du Front des jeunes démocrates pour la citoyenneté (FJDC), Ahmed Gouraya s’est rendu, ce dimanche, à Sétif. Lors de son meeting, il a affirmé que sa formation escompte, à travers sa participation aux élections législatives, se rapprocher du citoyen. Selon le chef du FJDC, son organisation à toutes les chances de décrocher des sièges, car, estime-t-il, les Algériens ont besoin d’un nouveau souffle. «Les citoyens veulent de nouveaux visages qui portent réellement leurs préoccupations»
Le RND à Djelfa et Msila
Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, a plaidé depuis Msila en faveur de la réhabilitation de la peine de mort à l’encontre des auteurs des kidnappings d’enfants, des trafiquants de drogue et des «faux monnayeurs». A Djelfa, lors de son deuxième meeting Ouyahia a exprimé l’engagement de son parti à œuvrer pour la restitution du soutien aux éleveurs en le maintenant l’année durant. Le SG du RND a promis l’amélioration de la situation des éleveurs et l’accompagnent de la filière par la réalisation de trois abattoirs modernes, à l’échelle nationale dans un objectif, a-t-il dit, de renforcer le marché local en viandes rouges.
Le PT à El Oued
La secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT), Louisa Hanoune, a appelé, lundi à El-Oued, à faire face à la "déprime politique et à la culture du désespoir". Appelant à une réflexion «sérieuse» sur la recherche de solutions permettant de faire face à cette culture du désespoir, elle a indiqué que «La déprime politique assombrit les horizons du citoyen, surtout dans le domaine économique et de l’emploi». La patronne du PT a par ailleurs, dénoncé l’entrée de «l’argent sale" sur la scène politique, avant de fustiger ce quelle qualifie de «pratiques illégales» entourant la préparation des prochaines élections législatives.
Le PNSD à Mila
Le président du Parti national pour la solidarité et le développement (PNSD), Mohamed Cherif Taleb, a appelé lundi à Mila «à la nécessité de combattre le cancer de la corruption qui ronge notre société». Il a, également, appelé au «partage équitable des richesses entre tous les Algériens», affirmant, dans ce sens, que l’Algérie dispose d’assez de ressources pour garantir une vie décente à plus de 100 millions d’âmes si ses potentialités étaient bien gérées». M. Taleb qui souhaite que les élections prochaines seront une opportunité pour goûter «la liberté», a invité l’assistance à faire le «bon choix» afin d’offrir au prochain Parlement «les meilleures compétences».
Le FFS à Khenchela
Le FFS n’est pas un parti «conjoncturel» qui se manifestant uniquement lors des rendez-vous électoraux, a déclaré le premier secrétaire national du Front des forces socialistes (FFS), Abdelmalek Bouchafa. Devant son public de Khenchela, il a affirmé que la participation de son parti au scrutin du 4 mai prochain est dictée par la situation de crise que vit le pays. Le Front des forces socialistes prend part à ce rendez-vous pour, déclare-t-il, «sauver le pays du danger et non pas pour sauver le système». Considérant que «le nationalisme est synonyme de démocratie», le premier secrétaire national du FFS a affirmé que «la crise en Algérie est avant tout politique et morale avant d’être économique et sociale".
Alliance El-Feth
Depuis Illizi, le président du parti de la jeunesse démocratique (PJD), Salim Khalfa, a plaidé pour le soutien de l’investissement pour promouvoir l’économie nationale. M. Khalfa a appelé, lors de ce meeting à «exploiter toutes les potentialités que renferme l’Algérie». Du haut de sa tribune, M. Khalfa a rendu un hommage à l’Armée nationale populaire (ANP) pour les efforts déployés pour la préservation de la paix et de la stabilité du pays, notamment au niveau des régions frontalières, avant d’appeler les électeurs à «choisir les candidats de l’alliance le 4 mai prochain».
L’ANR à In-Salah
Lors de son meeting à In-Salah, le Secrétaire général (SG) de l’Alliance nationale républicaine (ANR), Belkacem Sahli, a appelé à voter «en force» pour assurer la pérennisation des institutions de la République. Cette participation massive permettra, selon lui, à l’Algérie de relever de nombreux défis auxquels elle est confrontée. M. Sahli a, par ailleurs, mis l’accent sur la nécessité d’instituer une «démocratie participative», d’accorder la priorité aux jeunes et être attentifs à leurs préoccupations, et d’adopter un «discours porteur d’espoirs» car, dit-il, le pays dispose d’attributs nécessaires pour rendre l’espoir aux jeunes.
NAB à Jijel et Khenchela
Le représentant de l’Union pour Nahda-Adala-Bina, Abdellah Djaballah, a plaidé pour que la législation au prochain Parlement se réfère aux constantes nationales, à leur tête l’Islam, afin de réunir les conditions d’une "renaissance globale". Lors de son meeting à Jijel, Djaballah a affirmé que "la véritable réforme devait reposer sur la réforme de la législation qui s’appuie sur la référence nationale de la nation algérienne au service de l’intérêt général", considérant que cela "mettra l’Algérie sur la bonne voie". Il a conclu son discours en appelant les citoyens à se rendre massivement aux urnes, le 4 mai prochain, et à accorder leurs voix aux listes électorales de l’Union pour Nahda-Adala-Bina.
El-Islah à Souk Ahras
Le président du Mouvement El-Islah, Fillali Ghouini a décrié, à Souk Ahras, la Loi de finance 2017 qui contient une «injustice criante». «Ce n’est pas aux citoyens de payer l’échec des politiques menées par les responsables», dénonce-t-il en estimant que les différentes mesures ont engendré des augmentations qui ont «grignoté le pouvoir d’achat des fonctionnaires». Rappelant, par ailleurs, l’importance de la réconciliation nationale concrétisée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le responsable partisan a appelé «à faire apparaitre davantage sa valeur et ses bienfaits».
Le MPA à Biskra
Le président du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounes, a «insisté sur la participation massive aux élections législatives du 4 mai prochain» en mettant en garde les citoyens contre les risques d’abstention, estimant que «rester à la maison, le jour du scrutin, ne constitue aucunement une solution pour les Algériens». En marge de son meeting à Biskra, M. Benyounes a évoqué le «marché de l’automobile perturbé par les licences d’importation». Affirmant son soutien aux mesures du gouvernement, il a appelé à autoriser « l’importation des véhicules d’occasion sans limitation d’âge à condition de mettre en place un cahier des charges».
Le MSP à Ain Defla
Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderzak Makri, a estimé à Aïn Defla que les prochaines élections législatives constituaient une occasion pour «cultiver l’espoir et renforcer l’unité du pays». S’exprimant sur la campagne électorale, il a soutenu que son parti a présenté des candidats "intègres aux compétences avérées". Evoquant la situation économique du pays, il a souligné que la chute des prix du pétrole a exacerbé la récession, soutenant que des secteurs tels que l’agriculture et le tourisme «n’ont pas été considérés à leur juste valeur».
Le PT à Bouira
La secrétaire générale du parti des travailleurs (PT) s’est rendue, ce dimanche, dans la wilaya de Bouira où elle a affirmé que son organisation «milite contre la médiocrité et la corruption, qui gangrènent la politique en Algérie, et propose de véritables solutions pour sortir le pays de la crise qu'il traverse». Selon la première dame du PT, «la crise actuelle que connaît l'Algérie est née de la défaillance des politiques économiques et sociales mises en place, dont la responsabilité n’incombe qu'à l'actuelle majorité parlementaire des partis au pouvoir». Du haut de sa tribune, elle a appelé ceux qui ont failli à leur mission de «partir et laisser la place aux compétences».
El Khat Al Acil à El Tarf
Le secrétaire général du Parti El Khat Al Acil, Abderrahmane Sellam, a soutenu que «le vote est une solution pour rétablir la confiance entre l’électeur et le candidat». Affirmant que le peuple demeure «souverain de ses décisions», le chef du Parti El Khat Al Acil a exhorté les citoyens à «aller massivement aux urnes pour choisir ceux qu’ils estimeront pouvoir être leur ambassadeurs au parlement et sauront trouver des solutions à leurs préoccupations». Il s’agit de voter, insiste-t-il, pour «préserver les acquis de la paix et stabilité», et la nécessité de perpétuer le message des chouhada.
PLJ à Bordj Bou Arreridj
Le président du parti de la liberté et de la justice (PLJ), Belaid Mohand Oussaïd, a affirmé que le prochain scrutin représente aussi une occasion de «créer un changement positif à travers l'émergence de nouveaux visages». Il a, surtout, fustigé «les pratiques de certains partis politiques ayant recours à l’argent sale pour acheter des voix». Dans son discours électoral, il a rappelé que les constantes nationales sont une «ligne rouge à ne pas franchir, ni à débattre, à l’instar de l’identité nationale, l’appartenance au pays ainsi que les symboles de la révolution libératrice».
Le FFS à Skikda
«Le FFS croit en l’unité de l’Algérie, indivisible, et s’engage à militer et à défendre ce principe de manière pacifique», a déclaré le premier secrétaire national du Front des forces socialistes (FFS), Abdelmalek Bouchafa. Dans un meeting populaire animé à Skikda, il a indiqué que son parti «ne promet pas aux Algériens de résoudre l’intégralité des problèmes qu’ils rencontrent, mais s’engage à travailler dans un cadre étudié et organisé pour reconstruire un pays où règnent les valeurs citoyennes». M.Bouchafa a critiqué, à cette occasion, les erreurs du «régime actuel» dans la gestion des deniers publics, ses rapports à l’étranger et son «assentiment à l’exploitation de l’argent sale».
Le FMN à Tamanrasset
Le président du Front du militantisme national (FMN), Abdallah Haddad, a plaidé pour l’encadrement des jeunes, qui constituent «l’avenir de l’Algérie». Il a, à ce sujet, appelé à «encourager le retour des cadres et des compétences algériennes de la diaspora, et à leur permettre de contribuer à l’édification du pays», avant de souligner que le FMN compte dans ses rangs des jeunes qu’il s’attèle à introduire sur la scène politique et qui conduisent ses listes dans plusieurs wilayas. M. Haddad a, par ailleurs, invité les citoyens à soutenir les différents corps sécuritaires pour contrecarrer toute tentative d’atteinte à la sécurité et à la stabilité du pays, notamment dans les zones frontalières.
Le FAN à Batna
Le président du Front de l’Algérie nouvelle (FAN), Djamel Benabdeslem, a affirmé dimanche depuis la wilaya de Batna que l’Algérie est un pays stable et si le peuple est en quête de changement, des solutions sont garanties par la Constitution. Considérant que le premier et dernier choix de la réforme politique, économique, sociale doit se faire à travers «le dispositif électoral pour garantir la dignité, la justice et la liberté aux citoyens», il a convié les citoyens à «participer en force» aux prochaines législatives.
Le FM à Tiaret et Tissemsilt
Le président du Front El Moustakbel (FM), Abdelaziz Belaid a livré, devant ses militants et sympathisants la vision de son organisation pour sortir le pays de la crise. «Pour l’édification de la deuxième République», clame-t-il devant son public. Le chef du FM a dénoncé l’entrée de l’argent sale dans la politique en fustigeant ceux qui «achètent les consciences». La politique est entrée dans «le monde du business et de l’égoïsme au point d’entendre des Fatwas qui veulent rendre licite (hallal) la corruption», déplore-t-il en appelant les électeurs à sauver l’Algérie «un pays en danger». Lors de son second meeting de la journée, Belaid a affirmé que sa formation politique préconisait un dialogue national sur les plans politique, économique et social.
Le TAJ à Médéa
Le président du parti Tajamouâ El Jazair (TAJ) Amar Ghoul a détaillé son programme lors de son meeting organisé à Médéa. S’engageant à améliorer les conditions socioéconomiques des citoyens, Ghoul propose des crédits sans intérêts pour «aider les jeunes à créer de micro-entreprises». Faisant l’éloge de cette formule, il soutient que «le crédit participatif sans intérêts a donné de grands résultats dans les pays du golf et en Angleterre». Le président du TAJ n’a pas manqué d’appeler les électeurs à voter pour les «candidats jeunes» proposé par sa formation.
Le FNA à Médéa et Blida
Dans sa ville natale, Médéa, le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati a dénoncé «l’argent sale». Pointant du doigt les candidats qui achètent les voix et les soutiens, Touati a sollicité les électeurs à se poser les questions sur les véritables motivations de ces politiciens. «Quand quelqu’un achète des voix pensez-vous qu’il va servir le pays ?» a-t-il interrogé du haut de sa tribune. «Loin de ces pratiques indignes, assure-t-il, le FNA est un parti pauvre, mais il est armé de détermination et de bonne volonté pour servir le pays et défendre les intérêts des démunis». A Blida, Moussa Touati a rendu hommage aux éléments de l’ANP et aux forces de sécurité.
Le FLN à Ouargla
«Les élections législatives prochaines se feront dans l’intérêt des générations futures, à qui ont remettra graduellement le flambeau», a déclaré le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbas, lors de son meeting à Ouargla. Pour lui, les jeunes doivent participer à la «consolidation de l’édifice institutionnel de l’Etat algérien et la pratique démocratique», ainsi qu’à la «concrétisation effective des réformes globales prônées par le président de la République Abdelaziz Bouteflika, pour la préservation de la cohésion du peuple algérien et de l’intégrité territoriale du pays».