Il est de ces rencontres avec de jeunes artistes qui donnent encore de l’espoir, pour dire que tout n’est pas perdu sur la scène artistique algérienne. Réda Mourah est de ceux-là.
Eveillé à la magie du piano dès l’âge de quatre ans, il a sans doute eu la chance d’avoir des parents qui ont très vite décelé qu’il était remarquablement doué. Passionné de musique classique, très jeune il est épris des sonorités de Mozart et Beethoven.
Jusqu’à l’âge de 15 ans, il s’est adonné à sa première passion, cet art si raffiné, qu’est la musique classique pour ensuite se consacrer au jazz, puis accompagner plusieurs artistes aussi bien algériens qu’étrangers en tant qu’arrangeur et compositeur.
Se référant aussi aux grands artistes algériens dont « Ouarda El Djazairia, Matoub Lounès, Amar Ezzahi, Guerouabi, etc », son ambition est désormais de « faire revivre l’art en Algérie ». Il se confie à Hayet Rahmani pour la Radio chaine 3. Ecoutons-le…