La saison estivale a été l’occasion, dimanche, pour la chaine 3 de la Radio Algérienne, de s’intéresser à l’activité de plongée sous-marine que de plus en plus nombreux sont les Algériens à pratiquer en cette période.
Sa journaliste s’est, pour l’occasion, rapprochée de clubs sportifs s’occupant notamment de dispenser une formation à des adeptes de ce sport extrême, soucieux d’aller à la découverte de la faune et de la flore des profondeurs du monde du silence.
L’un des plongeurs en formation déclare que cette activité lui a permis de découvrir un autre monde, « une expérience magnifique », se réjouit-il, qu’il invite d’autres personnes à tenter à leur tour.
« L’idéal, ajoute-t-il, c’est de commencer la pratique de la plongée dés le plus jeune âge et une fois qu’on s’y est mis, il est impossible de se résigner à l’arrêter ».
Une autre élève déclare percevoir la pratique de la plongée sous marine comme un moment de « danger et de fascination », parce quand on descend dans les profondeurs, « on ne sait jamais ce qu’on peut y trouver ». On y est, déclare-t-elle, précipité dans un autre monde qui ne manque pas, chaque fois, « de provoquer en nous une montée d’adrénaline ».
Le membre d’un club de plongée explique, a son tour, qu’en s’enfonçant dans le grand bleu il fait chaque fois la découverte de nouveaux fonds marins de l’Algérie « qui demandent à être connus ».
Un moniteur de plongée explique que pour pratiquer ce sport « à risques » il faut réunir plusieurs critères et suivre une formation stricte et progressive de divers niveaux, du débutant à celle de moniteur de 3ème degré, et observer les règles enseignées par les formateurs.
- Chaîne3