Faire des startups un levier de relance pour l’économie nationale un objectif de haute priorité gouvernemental.
Souvent pris par l’excitation de se lancer et persuader d’avoir la bonne idée pour atteindre le succès, les jeunes entrepreneurs se heurtent souvent à des problèmes qui éloignent leurs entreprises de l’épanouissement.
Selon Nabil Guedha Manager de Digicom, l’apparition des premières difficultés n’est pas nécessairement synonyme de dépôt de bilan. Pour autant, bien connaître les solutions juridiques mises en place par le gouvernement, permettent de pouvoir en bénéficier au bon moment avant que la situation ne soit obérée, affirme-t-il, en indiquant que « toute startup naissante est fragile, elle aurait donc besoin d’un traitement spécial pour aboutir ».
Pour Youcef Guerrar expert en TIC, il est impératif de mettre en place une méthodologie visant à améliorer et orienter les performances des startups en élaborant un ensemble de textes juridiques, tout en accompagnant les porteurs de projets sur le plan juridique financier et fiscal.
Rappelant que le ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l'Économie de la connaissance et des startups, Yacine El-Mahdi Oualid, a annoncé jeudi dernier la mise en place d'une cellule d'écoute et de médiation au profit des porteurs de projets innovants et des startups en vue d'aplanir les difficultés entravant la concrétisation de leurs projets, qui va profiter pleinement aux jeunes patrons algériens.