Ramadhan devient chez certains gens un synonyme de baisse d’activité, surtout en été, car les journées sont longues, le ftour est aux environs de 20 heures. En effet, tout tourne au ralenti ou presque durant un mois. Même si les horaires de travail sont aménagés, l’activité professionnelle est réduite aux strictes minimas un peu partout tant dans l'administration que le secteur de production.
C’est en tout cas le constat fait par la journaliste Narmène Mendil de la Radio Chaine 3 partie à la rencontre de quelques auprès des chefs d’entreprises, des employés ou des citoyens. Elle est revenue avec une seule conclusion, les Algériens travaillent très peu pendant ce mois sacré, excepté ceux qui activent dans l’humanitaire, ceux-là en revanche, demeurent animés d’une volonté d’acier. Sur les lieux de travail ils multiplient singulièrement leurs efforts. Reportage.
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