"Les gens restent sceptiques par méfiance, manque de confiance ou du regard de la société pour ce qui est de connaitre son statut sérologique", a fait savoir M. Fourar, Directeur de la prévention au ministère de la Santé, à Noureddine Himed de la Chaine 3, rappelant que "le dépistage demeure volontaire, gratuit et anonyme afin de connaitre la population à risque".
« Le problème de connaitre sont statut sérologique en Algérie n’est pas un problème de structure ni un problème de service de santé », indique de son côté M. Adel Zeddam de l’ONUSIDA Algérie, ajoutant que « c’est une affaire sociétale ou comportementale, ce qui requière de préconiser une nouvelle approche en investissant plus sur les aspects liés à la stigmatisation et la discrimination afin de créer un environnement favorable » pour l’accomplissement du geste de dépistage ».
A rappeler que le dépistage se fait au niveau de 62 centres qui sont déployés à travers le territoire national.
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