Plusieurs associations s’activent pour se solidariser, par ces temps durs de l’hiver, avec les familles démunis. « Des familles qui pour la plupart d’entre elles dînent mais ne déjeunent ou déjeunent sans dîner », fait-on constater à Hcène Chemache parti sur les pas de certaines de ces associations qui vole au secours des pauvres et leur apportent un tant soit peu de confort indispensable.
Elles sont nombreuses ces familles qui souffrent de misère et de privation et dont les enfants ne vont pas à l’école avec pieds non-chaussés, sans vêtements et sans nourriture. La solidarité des citoyens, via ces associations, est urgente mais ne peut à elle seule assurer un certain minimum vital. A défaut de moyens, ce confort hivernal, tant attendu, n’est pas continuel.
Khadidja, mère d’une famille, fait savoir à Hcène Chemache que « l’élan de solidarité est ponctué par des ruptures notamment pour trouver quoi manger ». L’association « Piété et bienfaisance » a recensé quelques 100 familles et s’en charge de récolter pour elles chauffages, couvertures, effets vestimentaires et vivres.
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