En vue de décentraliser son action, l’instance de médiation et de dialogue entame ses consultations avec les acteurs de la société civile dans plusieurs régions du pays.
Cependant, des jeunes rencontrés par Nesrine Cherikhi de la Radio chaine 3, proposent plutôt l’installation des commissions au niveau de wilayas, tel que le suggère Mohamed Mustapha de Tindouf : « La tenue de rencontres simultanément fera gagner du temps », souligne-t-il, ajoutant qu’au « niveau local, les gens se connaissent et savent qui est crédible et qui ne l’est pas ».
Un autre jeune d’El-Bayadh propose de cibler des jeunes au niveau de chaque université pour recueillir les recommandations ».
Abdeslam Chellali, 28 ans, de Naâma, ne jure que par les réseaux sociaux, puisque c’est là que tout a commencé, et invite à utiliser les technologies de l’information pour plus d’efficacité. Il fait remarquer, au passage, que l’instance « n’a même pas de page facebook ».
Autant de suggestions pour évacuer l’épineuse question de la représentativité des jeunes du hirak.
Plus de détails dans le reportage de Nesrine Cherikhi.
- Chaîne3