C’est une double souffrance qu’endurent les femmes du sud en ce mois rose durant lequel elles voient « noires » lors du passage des caravanes de dépistage.
Une caravane sans spécialistes en sénologie menée par des gynécologues, a constaté l’envoyée spéciale de la radio Chaine 3, Narimène Mendil, à Tamanrasset, qui a vu des femmes en sang et en larmes pleurant leurs états qui se détériorent de jour en jour et se plaindre impuissantes du mal du siècle, souvent non diagnostiqué.
La direction de la santé a pensé à une stratégie pour pallier au manque criard de spécialistes en la matière pour une wilaya aussi vaste que l’Espagne. Mais se suffira-t-on des rares missions assurées dans le cadre de jumelage avec les hôpitaux de Bejaia et de Tizi Ouzou ? Reportage
- Chaîne3