Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel a annoncé, jeudi à Alger, la tenue de la Commission mixte algéro-saoudienne durant le 1er trimestre de l'année 2018 à Ryadh", mettant l'accent sur la volonté des deux pays de renforcer les relations bilatérales dans divers domaines.
"L'année prochaine connaitra d'importants rendez-vous à même de renforcer davantage les relations bilatérales dont la tenue de la Commission mixte algéro-saoudienne à Ryadh durant le 1er trimestre 2018", a déclaré M. Messahel à la presse à l'issue de son entretien avec le président du Conseil saoudien de la Choura, Abdallah Ben Mohammad Ben Ibrahim Al-Cheikh.
Il a indiqué, à ce propos, que "les relations entre les deux pays sont privilégiées dans divers domaines et nous sommes appelés, sur instructions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika et le serviteur des Lieux saints, le Roi Salmane à œuvrer ensemble à leur renforcement".
M. Messahel a salué, dans ce cens, "le rôle de la diplomatie parlementaire" dans le rapprochement entre les deux pays, et qui sera concrétisée dans le cadre de la commission d'amitié parlementaire Algérie-Arabie Saoudite.
L'entretien a été également une occasion pour aborder les facilités d'investissement et les mesures prises par l'Algérie en la matière, a-t-il ajouté, soulignant que l'Arabie Saoudite avait exprimé ces derniers mois "un intérêt à l'investissement en Algérie".
Il a été question, en outre, de la situation dans la région arabe, notamment dans les pays confrontés à de conflits et de la réaffirmation de la politique de l'Algérien fondée sur la non ingérence dans les affaires internes des pays, le bon voisinage et l'encouragement du règlement politique, a encore indiqué M. Messahel.
Concernant la situation en Syrie, au Yémen et en Libye, le chef de la diplomatie algérienne a insisté sur "l'importance de favoriser la solution politique" des crises prévalant dans ces pays pour assurer à leurs peuples stabilité et développement.
Cette rencontre, qui a permis un échange des vues et des expériences sur les phénomènes du terrorisme et de l'extrémisme violent, a été l'occasion pour M. Messahel d'exposer à son hôte l'expérience algérienne en la matière.
Pour sa part, le président du conseil saoudien de la choura a réaffirmé la volonté des deux pays de promouvoir les relations bilatérales, thème de son entretien avec M. Messahel qui a donné un aperçu sur le développement et la croissance en Algérie.
Il a souligné, en outre, le rôle que peuvent jouer le parlement algérien et le conseil saoudien de la choura dans le renforcement des relations bilatérales.
Le responsable saoudien a évoqué aussi les situations que connait la Nation arabo-musulmane qui aurait dû être, a-t-il dit, "un modèle aux autres Etats". APS
Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel a annoncé, jeudi à Alger, la tenue de la Commission mixte algéro-saoudienne durant le 1er trimestre de l'année 2018 à Ryadh", mettant l'accent sur la volonté des deux pays de renforcer les relations bilatérales dans divers domaines.
"L'année prochaine connaitra d'importants rendez-vous à même de renforcer davantage les relations bilatérales dont la tenue de la Commission mixte algéro-saoudienne à Ryadh durant le 1er trimestre 2018", a déclaré M. Messahel à la presse à l'issue de son entretien avec le président du Conseil saoudien de la Choura, Abdallah Ben Mohammad Ben Ibrahim Al-Cheikh.
Il a indiqué, à ce propos, que "les relations entre les deux pays sont privilégiées dans divers domaines et nous sommes appelés, sur instructions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika et le serviteur des Lieux saints, le Roi Salmane à œuvrer ensemble à leur renforcement".
M. Messahel a salué, dans ce cens, "le rôle de la diplomatie parlementaire" dans le rapprochement entre les deux pays, et qui sera concrétisée dans le cadre de la commission d'amitié parlementaire Algérie-Arabie Saoudite.
L'entretien a été également une occasion pour aborder les facilités d'investissement et les mesures prises par l'Algérie en la matière, a-t-il ajouté, soulignant que l'Arabie Saoudite avait exprimé ces derniers mois "un intérêt à l'investissement en Algérie".
Il a été question, en outre, de la situation dans la région arabe, notamment dans les pays confrontés à de conflits et de la réaffirmation de la politique de l'Algérien fondée sur la non ingérence dans les affaires internes des pays, le bon voisinage et l'encouragement du règlement politique, a encore indiqué M. Messahel.
Concernant la situation en Syrie, au Yémen et en Libye, le chef de la diplomatie algérienne a insisté sur "l'importance de favoriser la solution politique" des crises prévalant dans ces pays pour assurer à leurs peuples stabilité et développement.
Cette rencontre, qui a permis un échange des vues et des expériences sur les phénomènes du terrorisme et de l'extrémisme violent, a été l'occasion pour M. Messahel d'exposer à son hôte l'expérience algérienne en la matière.
Pour sa part, le président du conseil saoudien de la choura a réaffirmé la volonté des deux pays de promouvoir les relations bilatérales, thème de son entretien avec M. Messahel qui a donné un aperçu sur le développement et la croissance en Algérie.
Il a souligné, en outre, le rôle que peuvent jouer le parlement algérien et le conseil saoudien de la choura dans le renforcement des relations bilatérales.
Le responsable saoudien a évoqué aussi les situations que connait la Nation arabo-musulmane qui aurait dû être, a-t-il dit, "un modèle aux autres Etats". APS