Le froid glacial de l’ hiver de ces dernières années a suscité les gens à se bien couvrir. Les chutes de neiges et les baisses de températures rendent la ville de Boussaâda, entre autres villes sahariennes, toutes blanches, ce qui a poussé ses habitants à recourir aux habits traditionnels. La kachabia et le burnous, des vêtements portés habituellement dans des cérémonies religieuses et/ou festives. Ces habits connus d'être réservés à certains gens aisés société .
Vu leurs fabrication en poils de chameaux et leur épaisseur qui contrent le froid, ces deviennent de plus en plus convoités par le commun des populations. Mieux, des ateliers de confections se grouillent à leurs productions et commercialisation. Entre le regain d'intérêt des uns et le commerce des autres la tradition est ressuscité comme l'a constaté Abdelhamid Laidi, de la Chaine 3, à M'Sila dans sa virée aux marchés locaux.