
- Compte rendu de Amina Hadjiet à Alger pour la radio chaine 3
- Depuis Bechar, correspondance de Ramdane Bezza pour la radio chaine 3
- De Tizi Ouzou, correspondance de Mohamed Haouchine pour la radio chaine 3
- Correspondance de Abdelhamid Zouad depuis Jijel
- Amina Hadjiet décrit le hirak à Alger
- Témoignage des citoyens de Souk Ahras au micro de la radio locale
- Compte rendu sur la mobilisation du vendredi 17 de Hamza Belmadani à Oran
- Abdelhamid Zekiri évoque la parution à Biskra du 1er bouquin sur le hirak
- Témoignages de citoyens recueillis à Béjaia par la radio locale
Plus nombreuse que le vendredi passé, la foule est toujours là fidèle à la mobilisation pacifique pour le 17ème de la série. Un vendredi qui ne ressemble pas aux précédents de par les nouveaux slogans brandis et qui ont trait à « une justice libre et transparente » pour élucider au large public les affaires de corruption en cours d’instruction, ont constaté les journalistes de la radio algérienne.
En plus des slogans habituels appelant au changement du système de gouvernance, le nouveau mot d’ordre affiché est le "jugement de la bande des voleurs " dans une justice indépendante et impartiale".
Tout à fait, Amina Hadjiet rapporte qu’à Alger, le mouvement citoyen affiche une satisfaction et un contentement généralisé suite à la série d’arrestations des membres de gouvernements précédents, a constaté Amina Hadjiet au début du hirak algérois.
A Bechar et sous une chaleur estivale qui caractérise la région, la mobilisation n’est pas affectée. Les marcheurs passent, aussi pacifiques que d’habitude, le parcours de la Place de la Liberté vers le siège de la wilaya pour prendre part à un débat improvisé en plein air et discuter des évènements qui meublent le hirak durant la semaine, a noté le correspondant de la radio chaine 3, Ramdane Bezza.
En dépit d’une certaine satisfaction quand aux dernières incarcérations spectaculaires, des milliers de Tizi-ouzéens, sortis en ce 17ème vendredi, ne décolèrent pas . Les marcheurs de la ville des genêts crient haut et fort « honte à ceux qui ont agenouillé le pays » appelant la justice à "condamner tous ceux qui ont dilapidé les biens de l'Etat" et "restituer toutes les richesses mal acquises », rapporte Mohamed Haouchine de la radio chaine 3.