Le « stress hydrique » c’est lorsque les ressources en eau disponibles sont inférieures à la demande. A l’horizon 2025, l’ONU prévoit qu’un tiers de la population mondiale sera concerné par ce problème.
L’Algérie figure parmi les pays touchés par ce manque d’eau. Une problématique discutée, depuis hier, par le Conseil national économique et social (CNES).
Il y a « stress hydrique » lorsque la disponibilité d’eau par habitant et par est de moins de 1.700 mètres cube d'eau. Et « pénurie d’eau » lorsque cette disponibilité d’eau tombe sous le seuil de 1.000 mètres cubes.
En Algérie, la quantité d’eau disponible par habitant et par an, est, actuellement, de « 407 mètres cube », selon les propos du professeur Ahmed Kettab, directeur de recherche de l’Ecole nationale polytechnique d’Alger, rapportés par Nadir Kechoud qui a couvert la rencontre du CNES pour la Chaine 3 de la radio algérienne.