Les partis politiques algériens s’affairent à proposer leurs listes électroales pour participer aux élections locales du 27 novembre 2021, optant, chacun d’entre eux, pour des critères précis dans le choix des futurs candidats.
Le Front de froces socialistes laisse le choix aux assemblées générales de militants et aux commissions de candidature mise en place à l’échelle des communes et des wilayas. « Maintenant nous allons essayer de travailler avec les jeunes, d’autant que la loi nous impose un quotat de 50 % de jeunes. Le choix se fait au niveau des Assemblées générales de militants, tandis que la direction du parti se charge de la validation des listes », précise Farid Bouaziz, secretaire national chargé de l’organique.
Le président du parti La Voix du peuple, Lamine Osmani, insiste, quant à lui sur l’écoute des préoccupations du citoyen par le cnadidat. « Le parti est une platefrome de liberté, un transit pour préparer des gens à l’écoute du citoyen », estime-t-il, considérant que c’est le moment ou jamais de s’impliquer dans la gestion des instances locales.
Pour rappel, les élections locales en Algérie sont destinées à sélectionner 1 541 membres des conseils municipaux et répartis sur les 58 conseils des wilayas.