Pour faire face à la spéculation commerciale qui cible la pomme de terre, le ministère du commerce avait annoncé la création de 30 points de vente à travers le pays.
Ces points de vente sont chargés de casser les prix (100 DA le kilogramme) pratiqués, en ce moment, en proposant ce produit de base de l’alimentation des Algériens au prix de 55 DA, grâce aux opérations de déstockage.
Pourquoi cette solution prévue par le Système de régulation des produits agricoles de large consommation (SYRPALAC), mis en place par les pouvoirs publics, a tardé à être enclenché ?
Selon Bachir Seraoui, directeur du comité interprofessionnel de la filière pomme de terre, le retard de la riposte est du à une mauvaise gestion des stocks et à une désorganisation du circuit de distribution.