La Radio Algérienne innove. Désormais, toutes les archives audio sont disponibles au niveau du Musé inauguré, ce jeudi, par le ministre de la Communication, Hamid Grine, et le directeur général de la Radio, Chabane Lounakel, en présence des cadres de la Radio et de différentes personnalités médiatiques.
Un nouvel espace de mémoire qui renferme de précieuses pièces matérielles retraçant l’histoire de la Radio Algérienne, depuis la naissance, le 16 décembre 1956, de la Radio secrète (Voix de l'Algérie libre et combattante) à nos jours. Le musé comprend, également, une riche Bibliothèque multimédia permettant l'accès du public à différentes données et formats, les successifs ministres de la Communication, des chansons de notre patrimoine classées par style et par période, ainsi que des émissions inhérentes à l'histoire médiatique et culturelle de notre pays.
Le musé, qui se situe au niveau de l’annexe de la radio à Alger (rue Ahmed Zabana), sera ouvert à partir du 21 décembre. Le grand public peut s’y rendre tous les jours de semaine (excepté le vendredi) de 10 h à 17h.
Lors de la cérémonie d’inauguration, le ministre de la communication a déclaré que ce musé est une action pour restituer la mémoire de la radio Algérienne qui a accompagné la révolution Algérienne. Le ministre a profité de cette occasion pour annoncer l’ouverture, prochainement, d’un autre Musé de la télévision Algérienne et à l’avenir celui de la presse écrite.
Lors de la cérémonie d’inauguration, M. Grine a déclaré que ce musé est une action pour restituer la mémoire de la radio Algérienne qui a accompagné la révolution Algérienne. Le ministre a profité de cette occasion pour annoncer l’ouverture, prochainement, d’un autre Musé de la télévision Algérienne et à l’avenir celui de la presse écrite.
Après l’inauguration, des activité de célébration du 58ème anniversaire de la création de "la Radio Secrète" durant la guerre de libération nationale ont été organisées au Centre culturel Aissa Messaoudi. Une conférence sur le rôle de la radio Algérienne a été animée par l’ancien directeur général de la radio, Lamine Bechichi, suivie par la projection de deux documentaires. A la fin de la cérémonie, des diplômes ont été remis, à titre posthume, aux journalistes de la radio ayant participé à l’édification de la radio secrète et ayant contribué à la libération du pays.