«Avec l’aquaculture, l’Algérie compte créer des postes d’emploi, de la valeur et intervenir pour équilibrer l’offre et la demande sur le marché des produits halieutiques», a indiqué Sid Ahmed Ferroukhi, ministre de la pêche et des ressources halieutiques qui était l’invité de la rédaction de la radio Chaine 3.
Cette nouvelle stratégie du département de Ferroukhi est dictée essentiellement par la rareté de ce produit «sauvage». «Selon les campagnes d’évaluation scientifiques, nous arrivons à la limite de l’exploitation des stocks disponibles. Et c’est avec les élevages que nous comptons compenser l’offre », a expliqué l’invité de la Chaine 3.
«En plus des 20 fermes aquacoles existantes, plus de 30 projets sont en cours de mise en œuvre», a précisé le ministre qui a rappelé les différents avantages comparatifs accordés à cette filière, en termes d’assurance, de formation et de bonification des crédits.