Le nombre des enfants utilisés dans la mendicité serait de 11.000 à 13.000 personnes a fait savoir Abderrahmane Aârar, président du réseau algérien pour la défense des droits de l'enfant (Nada). Une pratique qui progresse en dépit de l'exisatance de la loi qui réprime cette activité à des fins mercantiles pour attirer la compassion des gens, voire les piéger.
la révision du code pénal a été amendé pour introduire et appuyer, entre autres dispositions, l'interdiction et la sanction de l'exploitation de l’enfant dans la mendicité existe mais non appliquée, selon les concernés qui en appellent à l’impératif de l’exécuter afin de protéger les mineurs et les nourrissons d’un certain commerce humiliant la personne humaine.
Mohamed Saïm, de la Chaine 3, revient sur le sujet une année après la promulgation de ladite loi en ouvrant le micro aux spécialistes de la question des droit de l'enfant.
