Hadj Rahim, père de la Caméra cachée en Algérie, n’est plus…

Ph.DR.

En l’espace de 24h, l’Algérie perd deux grands noms de cinéma. Après le décès du comédien et homme de théâtre, Arezki Rabah, dit Abou Djamel, dans la nuit du jeudi à vendredi, voici que l’on apprend la disparition d’un autre monument du cinéma, à savoir réalisateur Hadj Rahim, père de la "Caméra Cachée" en Algérie des années 1970.

Le défunt a rendu l’âme ce vendredi à l’âge de 83 ans suite à une crise cardiaque. L’information nous a été confirmée ce matin par le ministère de la Culture.

La levée du corps aura lieu ce samedi après la prière d'Al-Asr à partir du domicile familial sis à Chemin Pouillane au Telemly, l’enterrement aura lieu au cimetière de Sidi Yahia.

Hadj Rahim qui a rejoint la télévision algérienne en 1970, et a réalisé de nombreuses œuvres dramatiques dont Serkadji (1982), Hikayat Ennas (1985), La fin d'une grève (1992) et plusieurs films du céléèbre Inspecteur Tahar.

Dans un message de condoléances, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi a indiqué que le parcours professionnel du réalisateur Hadj Rahim «fut riche en apport et en créativité» ce qui «atteste de son professionnalisme et ses préoccupations sociales». 

«Le parcours du défunt dans le domaine du cinéma et de la télévision fut riche en productions précieuses et pertinentes. Il s'est rendu célèbre grâce à la caméra cachée dans les années soixante-dix, en sus de nombreuses œuvres dramatiques ».

Dans un message de condoléances, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi a indiqué que le parcours professionnel du réalisateur Hadj Rahim «fut riche en apport et en créativité» ce qui «atteste de son professionnalisme et ses préoccupations sociales». 

«Le parcours du défunt dans le domaine du cinéma et de la télévision fut riche en productions précieuses et pertinentes. Il s'est rendu célèbre grâce à la caméra cachée dans les années soixante-dix, en sus de nombreuses œuvres dramatiques ».

Le ministre de la Culture a présenté en cette douloureuse occasion ses condoléances, les plus attristées, à la famille du défunt et à l'ensemble de la famille artistique, priant Dieu Tout-puissant d'accueillir le défunt dans Son vaste Paradis et d'assister les siens. 

 

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