Les élèves du cycle primaire rejoignent, ce mercredi, les bancs de l’école, un moment pour les plus âgés parmi eux de retrouver leurs camarades et pour les nouveaux, de vivre une journée « inoubliable » inaugurée parfois par des pleurs, parce que marquant leurs premiers pas dans un milieu éloigné du cocon familial.
Dans une contribution consacrée à cette rentrée, la chaine 3 de la Radio Algérienne, a donné la parole à deux petites filles, Lezem et Dhalia, des jumelles s’apprêtant à entamer la première année de leur scolarisation.
« Maintenant, déclare l’une d’entre elles, c’est fini les jouets ». Elle explique qu’elles doivent désormais aller à l’école, parce qu’on y apprend à lire, à écrire « et à faire des additions ».
Dahlia déclare qu’elle envisage, plus tard, de devenir maitresse d’école pour, déclare-t-elle avec assurance, apprendre aux enfants à lire et à écrire. Sa sœur Lezem dit souhaiter devenir policière, expliquant que la tenue des agents est bleue « ma couleur préférée ».
La grand-mère des deux petites de cache pas son émotion. « Hier encore, dit-elle, je les tenais dans mes bras et voilà qu’elles prennent le chemin de l’école. C’est angoissant, mais bon », conclut-elle résignée.
A noter qu'à l'occasion de cette rentrée scolaire la Sureté nationale a tenu a annoncer qu'elle allait être présente de manière permanente à proximité immédiate des établissements d’enseignement afin d'y prévenir la survenue de tout éventuel délit.
Repris, mercredi, par la chaine 3 de la Radio Algérienne, le commissionnaire divisionnaire, Souaci, chef du département de cybercriminalité, assure que cette présence va avoir lieu « toute l’année » afin de prévenir, explique-t-il « la criminalité et la délinquance » ou tout au moins les miniminer dans la mesure du possible.