Ce sont les subventions à la consommation et non pas à la production qui constituent un handicap au développement de la production agricole nationale ». « L’Algérie est totalement dépendante de l’étranger pour ses besoins en semences maraichère »
Ces deux affirmations ont été énoncées lors de l’émission «L’invité de la rédaction de la chaine III» de la Radio Algérienne consacrée, aujourd’hui, au thème de la sécurité alimentaire.