12 personnes ont été arrêtées par les services de sécurité britanniques au lendemain de l’attentat de London bridge faisant sept morts, outre les trois agresseurs, et une cinquantaine de blessés, a indiqué dimanche Scotland Yard.
Les arrestations, en relation avec l'attentat, ont eu lieu à l’est de la capitale, à Barking, précise un communiqué de la police. "Des perquisitions ont été effectuées, notamment dans l’appartement de l’un des auteurs de l’attentat", ajoute la même source.
La responsable de la police métropolitaine de Londres, Cressida Dick, a indiqué que la menace représentée par les auteurs de l'attentat de la veille avait été "neutralisée". "Des perquisitions sont encore en cours", a-t-elle dit.
A London Bridge, une camionnette a foncé dans la foule. trois assaillants, sortis du véhicule, ont attaqué des passants avec des couteaux.
L'attentat intervient quatre jours avant les élections législatives. Les principaux partis politiques britanniques ont suspendu leur campagne électorale. Elle reprendra lundi.
Le gouvernement a décidé de revoir sa stratégie de lutte anti terroriste, avait indiqué la première ministre, Theresa may à l’issue d’une réunion de crise du gouvernement après le troisième attentat au Royaume-Uni en trois mois, deuxième à Londres.
Elle a plaidé pour une collaboration internationale de lutte contre "l’idéologie qui prêche la haine" sur les réseaux sociaux d’internet.
L’attentat de London Bridge intervient deux semaines après l’attentat kamikaze de Manchester qui a fait 22 morts et 116 blessés le 22 mai.
Le 22 mars, un autre attentat a été perpétré au c£ur de Londres devant le parlement de Westminster, tuant cinq personnes plus l’assaillant, et blessant au moins cinquante autres.
Les services de sécurité ont déclaré avoir déjoué 23 attentats depuis juin 2013, 5 depuis l’attentat de Manchester après lequel les services de sécurité ont multiplié les opérations de lutte anti-terroriste ayant abouti à l’arrestation de 17 personnes impliquées dans l'attentat.
Attentat de Londres: 21 blessés dans un état "critique" (services de santé)
Les services de santé britanniques ont annoncé dimanche que 21 personnes hospitalisées après l'attentat de Londres étaient dans un état "critique".
Selon la même source, 36 personnes étaient encore hospitalisées, sur la cinquantaine de blessés dans l'attaque. La Première ministre Theresa May s'est rendue au King's College Hospital (sud de Londres), au chevet de victimes.
A London Bridge, une camionnette a foncé dans la foule. trois assaillants, sortis du véhicule, ont attaqué des passants avec des couteaux.
L'attentat intervient quatre jours avant les élections législatives. Les principaux partis politiques britanniques ont suspendu leur campagne électorale. Elle reprendra lundi.
Le gouvernement a décidé de revoir sa stratégie de lutte anti terroriste, avait indiqué la première ministre, Theresa may à l’issue d’une réunion de crise du gouvernement après le troisième attentat au Royaume-Uni en trois mois, deuxième à Londres.
Le 22 mars, un autre attentat a été perpétré au c£ur de Londres devant le parlement de Westminster, tuant cinq personnes plus l’assaillant, et blessant au moins cinquante autres.
Les services de sécurité ont déclaré avoir déjoué 23 attentats depuis juin 2013, 5 depuis l’attentat de Manchester après lequel les services de sécurité ont multiplié les opérations de lutte anti-terroriste ayant abouti à l’arrestation de 17 personnes impliquées dans l'attentat. APS