Présence indispensable, voire obligatoire, leurs voix sont nécessaires, elles en sont conscientes. Elles scandent d’égal à égal avec les hommes et crient haut et fort avec conviction et espoir un changement pour un Etat de droit, pour une nouvelle République.
Seules, accompagnées ou en familles, elles viennent de tous bords et ne manquent aucun rendez-vous du mouvement populaire de contestation depuis son enclenchement le 22 février dernier. Ces femmes participent activement depuis la marche du vendredi 1 et s’y préparent assidument et de façon très engagée.
Elles disent que le combat légitime les concerne de près, estimant qu’il doit continuer jusqu’à son aboutissement. Djaouida Azzoug a croisé quelques unes d'entre elles à Alger, non loin du parvis de la Grande Poste et a recueilli leurs témoignages.
Reportage.
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