Stress hydrique : des mesures urgentes pour assurer l'approvisionnement en eau

Des mesures urgentes ont été prises lundi, lors d'un Conseil interministériel présidé par le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, à l’effet d’atténuer au maximum les effets du stress hydrique dont souffre actuellement le pays, selon un communiqué des services du Premier ministre. 

Ces mesures visent à garantir "non seulement la sécurisation de l’approvisionnement en eau potable de la population, mais également la sécurisation du système national de production agricole", selon le communiqué. 

Le Conseil interministériel a été consacré "au plan d’action urgent pour contenir les impacts du stress hydrique, notamment avec l’enregistrement, ces derniers mois, d’une pluviométrie inférieure à la moyenne, et une augmentation de la consommation d’eau, ce qui induirait un déficit hydrique précoce, si les conditions météorologiques persisteraient durant les prochains mois dans un scénario pessimiste", poursuite le communiqué.  

Il convient de rappeler qu’une convention a été signée  entre les établissements du secteur des Ressources en eau portant création d’un bureau d’études pluridisciplinaire de dimension nationale, a indiqué un communiqué du ministère.

Les établissements concernés par cette convention sont, "l’Algérienne des eaux (ADE)", "l’Office national de l’assainissement (ONA)", "l’Office national de l’irrigation et du drainage (ONID)", "l’Agence nationale des barrages et des transferts (ANBT)", "l’Agence nationale de gestion intégrée des ressources en eau (AGIRE)", ainsi que "l’Agence nationale des ressources hydriques (ANRH)".  

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