La sélection algérienne (seniors/dames) de judo est entrée en regroupement jeudi soir, au Centre de regroupement et de préparation des élites nationales à Souidania (Alger), avec un groupe amputé de trois éléments (2 athlètes et 1 membre du staff technique), qui ont été testés positifs au coronavirus, a-t-on appris vendredi auprès de la Fédération algérienne de la discipline (FAJ).
Initialement, la sélection nationale devait effectuer ce stage avec un effectif de 17 athlètes, encadrés par un groupe de quatre techniciens, sous la houlette du coach principal Meziane Dahmani.
Etant donné que les résultats du dernier dépistage ont révélé la présence de ces trois cas positifs au COVID-19, "le groupe a été réduit uniquement aux éléments sains", à savoir : 15 athlètes et 3 entraîneurs, dont l'entraîneur en chef, Dahmani.
"Ce stage, d'une durée de deux semaines se poursuivra au Centre de regroupement et de préparation des élites nationales à Souidania jusqu'au 20 novembre courant" a encore détaillé la FAJ.
A la fin du mois d'août dernier, lors d'un précédent dépistage, les tests PCR avaient révélé la présence de dix cas positifs au COVID-19 parmi les rangs de la sélection féminine, ce qui avait conduit à l'annulation du stage bloqué qu'elle devait effectuer dans la foulée.
Cependant, les choses étaient progressivement rentées dans l'ordre, permettant à la sélection nationale (dames) d'effectuer un premier stage bloqué, pendant les semaines ayant suivi.
Quoique, malgré une application rigoureuse du protocole sanitaire, particulièrement à la veille des regroupements, de nouveaux cas de contamination au COVID-19 continuent d'apparaître au sein de la sélection.