Manque d’établissements médicaux spécialisés et bien équipés avec aux programmes des interventions timides qui sont aggravés, selon les professionnels, par un manque d’organisation de la société, des blocages administratifs, de la réticence des donateurs ou manque de culture de don d’organes chez les Algériens.
Tel est l’amer constat dont souffre, entre autres, la transplantation rénale en Algérie face à une forte demande exprimée une population dans le besoin et qui est suspendue à la chance ou au hasard d’en recevoir un don en dehors, de parenté, pour espérer une survie plus ou moins meilleurs.
Ils sont quelque 1000 greffés seulement qui ont eu ce privilège depuis 1980. Un chiffre dérisoire, voire insignifiant par rapport à l’armée de demandeurs de greffe qui s’élargie d’année en année.
Les détails dans ce reportage de Hcène Chemache de la Chaine 3.
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