«Pour le moment, on ne peut pas rendre obligatoire l’accréditation des laboratoires d’analyses médicales. Pour cela, il faut élaborer un système», a déclaré Noureddine Boudissa, directeur général de l’organisme d’accréditations (Algerac).
Reçu à l’émission l’invité de la rédaction de la radio Chaine 3, le DG d’Algerac a insisté sur la nécessité de procéder à une réflexion sur cet aspect stratégique, «une fois la pandémie maitrisée». «Il faut, dit-il, profiter de cette opportunité pour envisager de rendre obligatoire l’accréditation des laboratoires biomédicales et des laboratoires d’essais qui relèvent de l’industrie pharmaceutique».
M. Boudissa appelle, dans ce sillage, à engager une réflexion avec tous les partenaires et les professionnels du secteur pour «élaborer ensemble un cahier de charge».