La lutte contre le terrorisme, la cybercriminalité, la corruption, le trafic de stupéfiants et le blanchiment de capitaux, en particulier, ont été parmi les points à avoir été commentés, mardi, par le procureur Abdelkrim Djadi, représentant du ministère de la Justice.
Celui-ci fait notamment mention de l’introduction de nouvelles techniques d’investigation, accompagnée du réaménagement de certains textes de lois et d’une formation adaptée des magistrats pour prévenir et lutter contre les nouvelles infractions, telle celle liée à la cybercriminalité.
S’exprimant durant l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, M. Djadi signale « qu’énormément d’efforts » ont été entrepris pour mener la lutte à ces phénomènes, notamment par le biais de l’adoption par l’Algérie de plusieurs conventions internationale de lutte contre la criminalité.
Il signale, par ailleurs, que des dispositions ont été institués pour renforcer le droit des personnes à la vie privée et à leur liberté, lesquelles, indique-t-il, ont désormais la possibilité de faire appel à la justice lorsque celles-ci sont agressées.
Il signale également la possibilité pour les citoyens voulant s’éviter un procès long et couteux, de faire appel à la médiation pénale, une procédure médiane lors de laquelle le procureur de la république peut décider d'entreprendre une médiation entre des justiciables pour régler leur litige à l'amiable.